Le solaire photovoltaïque, énergie n°1 de la transition

Écrire cela est bien audacieux quand on sait où en est aujourd’hui cette énergie dans les usages des Français. Derrière des sources renouvelables comme le bois, l’hydraulique, l’éolien, la géothermie et même les biocarburants, le solaire photovoltaïque ne représente en 2023 que 5,8 % de notre consommation d’énergie primaire (l’énergie brute, non transformée)... Et ça, c’est si on ne parle que des renouvelables. Toutes énergies confondues (incluant le nucléaire et les fossiles : pétrole, charbon, gaz), le solaire ne représente plus que 0,9 % de notre consommation ! Soit encore moins que les États-Unis (1,2 %), où les énergies vertes ne représentent pourtant que 9 % du total consommé, contre 15 % en France.

Cela dit le photovoltaïque est en plein essor et joue depuis quelques années un rôle clé dans la dynamique de transition énergétique de la France. Entre 2021 et 2023, le solaire est l’énergie renouvelable la plus contributive à l'augmentation de la puissance raccordée pour injecter de l’électricité verte au réseau. Désormais, la filière solaire représente 27 % du mix de production renouvelable. Certes moins que l’éolien (33 %) et l’hydraulique (36 %)… C’est pourtant le soleil qui va le plus fortement soutenir la progression de l’électricité verte dans les prochains mois, avec 23 GW d’installations solaires en projet contre 20,9 GW pour l’éolien et seulement 108 MW pour l’hydraulique. L’objectif fixé pour le solaire photovoltaïque dans la programmation pluriannuelle de l’énergie prévoit une capacité de 44 GW d’ici 2028.

Et à plus long terme, disons 2050, le solaire est l’énergie n°1 des scénarios prospectifs étudiés par RTE : de 208 GW de capacité installée si on décide de se passer du nucléaire, à 70 GW si on équilibre énergies renouvelables et nucléaire. Pour l’heure, les dernières nouvelles de la planification écologique tablent sur 48 GW en 2030 et 140 GW en 2050. Mais tout porte à penser qu’il va falloir faire encore plus vite et encore plus fort dans les prochaines années, pour répondre à la hausse massive des besoins en électricité.

Accélérer le solaire, enjeu n°1 de la transition

Les objectifs européens de réduction des émissions de CO2 de 55 % d’ici 2030 vont devenir une obligation légale. Couplée aux incertitudes politiques, aux ambitions de réindustrialisation de l’Europe et à l’électrification généralisée des usages dans tous les secteurs (des bâtiments aux datas centers en passant par les transports y compris l’aviation), cette perspective implique d’augmenter les capacités de production renouvelable à un rythme beaucoup plus élevé que prévu. Tous terrains, plus simple et rapide à massifier que l’éolien, avec l’atout majeur de l’autoconsommation qui réduit la charge sur le réseau, le solaire est en première ligne de cet enjeu d’accélération vers le bas carbone.

C’est donc l’heure de vérité pour la France. Nous avons beau avoir la cinquième ressource européenne en termes d’ensoleillement, notre développement solaire a beau être dans l’élan avec 19 GW en exploitation pour plus de 600 000 installations, nous sommes très en retard sur des pays comme l’Espagne (26 GW d’installations solaires en exploitation), l’Italie (34,5 GW et 1,8 millions d’installations) et surtout l’Allemagne. Après un bond de 14 GW installés en 2023, dont la moitié dans le résidentiel, notre voisin dispose de 81,7 GW de capacité avec plus de 3 millions d’installations.

L’abonnement solaire, solution n°1 ?

Quels sont les freins français ? Ils sont connus : les coûts d’installation pour le pouvoir d’achat des particuliers et la capacité d’investissement pour les entreprises, la complexité des démarches administratives.

Face à ces freins, l’abonnement solaire tel que proposé par SunLib devient la solution.

Le coût n’est plus un problème quand il suffit de s’abonner à 49 € TTC/mois pour être équipé d’une installation solaire, sans apport ou endettement initial.

La complexité s’évanouit quand tout est compris dans l’abonnement : démarches administratives, frais d'installation, de raccordement et de mise en service, garantie du matériel (fonctionnement et performance), maintenance et services associés (évolutivité des équipements avec les dernières technologies, support client à la demande…).

Quant à la rentabilité, l’abonnement SunLib fait toute la différence : particulier ou entreprise, tout le monde fait des économies dès la première année par l’autoconsommation et la revente au réseau du surplus d’électricité produite.

Et en plus, SunLib accompagne chaque abonné sur toute la durée de son contrat via une application qui l’aide à optimiser sa consommation électrique et ses dépenses.

À l’heure où la France doit se mettre debout sur l’accélérateur pour un futur énergétique souverain et décarboné, le seul modèle capable de sonner la mobilisation générale en permettant à tous les volontaires d’y répondre, c’est l’abonnement…

Et c’est ici que ça commence !